Une première projection évoquait l'infiniment petit, la formation des cellules ou des cristaux. Une deuxième capture des paysage macroscopiques et survole la surface des rochers couverts de mousses, des écorces d’arbres ou encore des plantes naissantes. Et la dernière évoquait des paysages grandioses avant de les retravailler numériquement.
Cette création s’est faite grâce aux images captées puis retravaillées grâce à des outils génératifs, de post production ou d’encodage. En collaboration avec les musiciens et sound designers Jeanne Laborde et Théo Serror qui ont donné vie à une bande originale à la fois mélodique et concrète.