Il confronte dans ses installations des images en mouvement à la sculpture et/ou la scénographie, pour révéler leurs temporalités, leurs matérialités, leurs mécanismes.
Il rassemble des fragments de son, de texte, de film et des objets pour constituer des lieux singuliers. Il conçoit ses installations comme des mises en scène de paysages artificiels.
Dans ces assemblages, les objets tangibles et immatériels sont interdépendants de manière à rendre confuses les frontières de la représentation. De cette manière, il explore la discontinué, et la surabondance des langages médiatiques. La grammaire du langage cinématographique permet aux différents éléments juxtaposés de prendre sens à travers ces espaces. Les images en mouvement et leurs supports deviennent des outils pour contextualiser notre rapport au monde, dans ce qu’il nomme paysages numériques.
Il rassemble des fragments de son, de texte, de film et des objets pour constituer des lieux singuliers. Il conçoit ses installations comme des mises en scène de paysages artificiels.
Dans ces assemblages, les objets tangibles et immatériels sont interdépendants de manière à rendre confuses les frontières de la représentation. De cette manière, il explore la discontinué, et la surabondance des langages médiatiques. La grammaire du langage cinématographique permet aux différents éléments juxtaposés de prendre sens à travers ces espaces. Les images en mouvement et leurs supports deviennent des outils pour contextualiser notre rapport au monde, dans ce qu’il nomme paysages numériques.
VISUELS
De la vidéo expérimentale en Super 8 au VJing 100% digital, Arsène a gardé l'attention du grain devenu pixel. Il filme des paysages numériques qui semblent venir de souvenirs sur pellicule et détruit l'image jusqu'à une abstraction psychédélique. Les textures mouvantes viennent habiller les décors scénographiques dont il gère la construction en atelier.